Nos souhaits

La liberté de choix :

  • Une proposition de loi permettant de choisir des soins avec ou sans médicaments à  l’image de la Norvège,
  • Avoir la liberté de choisir ses thérapeutes quelque soit sa pathologie,
  • Proscrire la contention (sauf cas vital) et réduire à sa plus simple expression les traitements sous contraintes,
  • En cas de litige recourir à des experts réellement indépendants.

Offrir des soins prenant en compte le réseau social et familial du patient :

  • Intégrer ce réseau à l’équipe de soin qui devra être pluridisciplinaire, égalitaire et non hiérarchique, basée sur l’Open Dialogue (Psychologues/Infirmiers/Travailleurs Sociaux/Psychiatres/Biologistes),
  • Déployer plus largement le concept d’équipe mobile qui a démontré son efficacité notamment dès les premières crises.

Avoir une approche réellement scientifique :

  • Introduire des indicateurs/marqueurs dès le début du suivi : Analyse de sang – Brain screen – Analyse du microbiote – Examen de la thyroïde, avant toute médication,
  • En assurer le suivi par des spécialistes de la biologie
  • Supprimer les classifications empiriques qui stigmatisent et qui sont inefficaces,
  • Mettre en place des réels plans de rétablissement partagés par tous,
  • Donner les moyens pour une véritable recherche indépendante des laboratoires pharmaceutiques.

Organiser un système de soin transparent :

  • Ne pas parler du concerné hors de sa présence et toujours en présence de son réseau,
  • Tous les rapports/données du soin sont accessibles en temps réel pour le patient/ses proches/personnes de confiance,
  • Le dossier médical est accessible gratuitement et simplement,
  • Toutes les données de recherche/suivi (sauf marqueurs personnels) sont accessibles à tous en temps réel.

Avoir une approche holistique et respectueuse de la vie/de l’humain :

  • S’assurer du traitement possible d’autres pathologies avant le recours aux médicaments de type neuroleptique ou régulateur d’humeur (traitement des addictions, analyses détaillées des carences et traitements appropriés etc..)   
  • Recourir à un usage sélectif (durée et quantité) des médicaments (France championne des quantités) avec suivi réel des effets afin d’éviter toute chronicisation,
  • Avoir une approche bio – psycho – sociale comme le recommande l’OMS. D’une manière générale respecter les recommandations de l’OMS.

Utiliser l’expérience des personnes concernées :

  • Développer les formations des personnes qui ont l’expérience vécue de ce type de troubles : les pairs aidants,   
  • Insérer de façon systématique des pair aidants dans les équipes de soin de façon égalitaire et sans lien hiérarchique avec les psychiatres.
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