Ce qui fonctionne

« Mettre de l’humanité dans les soins psychiatriques »

Et oui notre approche est humaniste, délibérément innovante, mais toujours basée sur des études sérieuses provenant des spécialistes du monde entier et étayés par des résultats complets et prouvés.

L’approche ne peut plus être uniquement biologique comme a tenté de nous faire croire la psychiatrie officielle en France depuis une trentaine d’année sans avancée et preuve notoire.

C’est pourquoi notre approche est bio psycho sociale comme nous le recommande d’ailleurs l’OMS (Il semble d’ailleurs que certains pensent encore qu’il y aient des spécificités françaises aux troubles psychiques tant au niveau des troubles qu’a la façon de les traiter : voir d’ailleurs la différence des doses recommandées entre par exemple l’Angleterre et la France).

Pour ce faire, il est donc nécessaire d’avoir une approche intégrative des soins (là encore il semblerait que la France est encore un petit temps de retard sur les autres pays).

C’est sur cette base que ce fondent nos propositions pour conduire vers le rétablissement.

Nous pensons aussi, que même s’il y a des caractéristiques communes à dégager dans les pathologies, chaque cas est un cas particulier. C’est une des raisons pour laquelle nous portons peu de crédit aux classifications de type DSM, sans compter que ces classifications n’ont rien de scientifiques.

Les points centraux sont :

  • de mettre réellement la personne concernée au centre du système de soin en temps que personne à respecter, à écouter.
  • de se baser sur une approche phénoménologique, c’est à dire ne pas chercher à apporter de solutions en tant que sachant, mais utiliser le phénomène quel qu’il soit (paroles, voix , hallucinations, comportements), l’écouter, en parler pour que la personne concernée elle même dégage ses forces et ses solutions.

C’est pour cela que pour nous la brique de base du soin est l’Open Dialogue. Les autres techniques ou pratiques ne sont qu’une boite à outil dans laquelle la personne concernée pourra piocher.

Cependant les expériences de certains spécialistes et nos expériences signalent certaines pistes de rétablissement

Un préalable est de créer un contexte favorable par :

  • l’écoute, l’absence de contention,
  • la suppression au préalable des addictions (si possible),
  • des analyses biologiques préalables (microbiote, thyroïde, etc…)
  • le recours sélectif et mesuré aux médicaments (Toujours privilégier pour les premières crises : somnifères , anxiolytiques (courte durée) aux neuroleptiques)

Ensuite des thérapies adaptées peuvent être envisagées :

  • Nutrithérapie en fonction des analyses (basée en général sur un régime cétogène et la diminution du sucre)
  • Approches psychologiques adaptées selon les cas (EMDR, psychothérapie analytique, TCC …)
  • Retour au corps, sociothérapie
  • Retour à l’activité (sport, passion, travail)

Pour plus de détail vous pouvez consulter notre bibliographie : Lien vers Biblio

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